On dit parfois que les femmes savent mieux écouter que les hommes. Qu’elles ont un petit je-ne-sais-quoi que nos clientes et clients apprécient. De l’empathie peut-être? De la sensibilité? Quoi qu’il en soit, pour se lancer dans le métier, il faut avoir la niaque, l’envie de réussir.
Sophie, Chloé, Fatima et les autres ont franchi le pas. Elles racontent pourquoi et vous donnent un aperçu de leur quotidien.
Brigitte est tombée dans la marmite de l’assurance il y a plus de 30 ans. Sidonie a une longue expérience de la vente, mais elle a changé de branche, parce que l’assurance et la banque, «c’est un domaine si vaste que je ne risque pas de m’ennuyer.» Quant à Chloé, elle a découvert cette activité au gré d’une reconversion professionnelle : «La formation était donnée à l’interne, alors je me suis lancée. Ça me plait énormément, donc je continue!»
«C'est important d'aimer les gens, d'être à l'écoute, d'être dynamique et empathique.»
«On a besoin de plus de femmes dans ce métier!», s’exclame d’emblée Laura. Nos conseillères sont unanimes: pour les clientes et clients, c’est très enrichissant de pouvoir échanger aussi avec des femmes conseillères à la clientèle. Leur empathie, leur disponibilité, en font de précieux vis-à-vis. Et Brigitte d’ajouter: «Ce métier bouge tout le temps, on n’a pas le temps de s’en lasser. C’est le plus beau métier du monde!»
«Ce métier bouge tout le temps, on n'a pas le temps de s'en lasser.»
«Grâce à la diversité de nos conseillères et conseillers, nous offrons le meilleur des services à chacune et chacun de nos clients. Cette mosaïque de perspectives améliore nos résultats communs.»
Dans ce métier, on se fait son salaire soi-même. Homme ou femme, cela ne fait aucune différence. Ce qui compte, ce sont vos résultats, rien que vos résultats. Nos conseillères à la clientèle aiment les défis. Vous aussi? Alors, lancez-vous!
L'assurance et la banque? Il y a encore deux ans, c'était une terre inconnue pour Sophie et Sidonie. Grâce à une formation adaptée à leurs besoins, elles sont aujourd'hui bien installées dans leur activité et convaincues que même sans expérience préalable dans la branche, si vous avez de la volonté et aimez les gens, la réussite est à votre portée.
Dans le métier de conseillère à la clientèle, on ne compte pas ses heures. Mais votre performance a un effet direct sur votre rémunération. Et vous gérez vous-même votre emploi du temps, indépendamment des horaires de bureau. Fatima par exemple en profite pour accompagner régulièrement ses filles à l’école.
Dans le métier de conseillère à la clientèle, chaque journée a un rythme différent. Particulier, PME ou grande entreprise, on entretient des contacts avec des personnes très diverses. Vous aimez que ça bouge? La routine n’est pas votre tasse de thé? Lancez-vous et découvrez une activité polyvalente et variée.
Envie de guider ? Alors fais comme Mélanie : Elle n’est chez nous que depuis août 2020, mais a déjà évolué au cours de cette courte période. Elle a commencé comme conseillère à la clientèle à 50% en job sharing après son congé maternité. Deux mois plus tard, elle a pu augmenter son taux d’occupation de 20% et s’occuper du coaching des néophytes à l’agence de Langenthal. Quand un poste de cheffe de vente est devenu vacant, Melanie a tenté sa chance et l’a obtenu. Depuis sept mois, elle travaille à 100% dans cette fonction.
William Mainoz, Responsable RH est à disposition pour répondre à vos questions. Vous pouvez complétez le formulaire ci-dessous ou adresser votre message à william.mainoz@baloise.ch.